• Alexis Driollet, né le 10 août 1984 à Enghien-les-Bains, est un joueur de rugby à XV français  évoluant au poste de troisième ligne centre.

    Sources : Wikipédia
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    Casperfan


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  • David Pereira a tout juste 18 ans, et déjà un immense talent ! Il faut dire que cet artiste du cirque espagnol a brillé très tôt : à 12 ans, il suit des cours de danse classique et la pépite prend déjà forme. Ayant une prédisposition pour la contorsion, il se lance dans la gymnastique deux ans plus tard et intègre l'équipe nationale espagnole...

     

     

     

    Sources & photos : A Cause des Garçons


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  • «Je chante l'amour au masculin par souci de sincérité»
    Quand d'autres chanteurs dissimulent leur identité pour plaire au public, ce «jeune» chanteur de 37 ans dévoile un message d'amour gay dès son premier single, «C'est lui», désormais disponible.

    Quand tant de chanteurs font leur carrière entière dans le placard, Fred Actone,  37 ans, tente de percer avec un single au titre explicite: C'est lui. Que l'on soit client ou pas du registre — un slow — et de la voix — de crooner —, on ne peut que saluer le coming out immédiat et la sincérité qu'il représente. D'autant que ce neo-parisien, originaire de Tours, a essuyé les refus des maisons de disque pendant des années avant de finir par créer son propre label pour publier d'autres artistes et ce titre qui lui tient à cœur.

    Dès ce premier single un message explicitement gay. Est-ce un choix délibéré ?
    Fred Actone : Oui. Cette chanson est l'engagement d'une croisière vers la liberté… Le message que je porte en moi est empli d'amour et d'universalité, mais je n'ai à aucun moment voulu sortir ce titre pour choquer. Si je parle d'amour au masculin, c'est par souci de sincérité… Bien sûr, je me suis posé des questions, parce que je savais que chanter C'est lui pouvait être dérangeant pour certains, mais je n'aurais pas pu tricher et dire : «C'est elle qui a bouleversé ma vie»… (rires) «C'est lui», c'est du pur vécu! Et comme chante Bernard Lavilliers : «La musique est un cri qui vient de l'intérieur», de là où le mensonge n'a pas lieu d'être.

    En quelques mots, quel a été votre parcours musical jusqu'ici ?
    J'ai commencé le piano classique à l'âge de 8 ans, puis j'ai été transporté par le jazz, ses harmonies, sa force d'improvisation. De pianiste, je me suis ensuite orienté vers l'écriture de mes premières chansons. Et sans me poser de questions mais en travaillant des jours et des nuits sur mes instruments, je suis devenu auteur, compositeur et arrangeur. Depuis, j'encadre plusieurs artistes: Jessika Ferley (j'ai écrit et composé sa chanson Espoir, qui a connu un grand succés en Suisse) et travaille également pour d'autres artistes à visibilité (Gianni Palazzo, K-Reen, Jil Caplan).

    Le registre de cette chanson est très «variété», un genre qui peut sembler décalé, voire démodé par rapport à la production musicale actuelle…
    Non, sincèrement même si C'est lui a des codes «classiques», c'est une chanson à texte avant tout et qui pour moi, au contraire d'être démodée, est complètement atemporelle… Volontairement, nous ne voulions pas faire du branchouille ! Les arrangements sont nobles, feutrés et, c'est vrai, c'est de la pure variété française comme le font Lara Fabian, Pascal Obispo et tant d'autres. C'est ce que j'aime et c'est le type d'arrangements qui colle aux mots de cette chanson. Moi je suis en harmonie avec ces sonorités piano-cordes, guitares, rythmiques, chœurs et je ne me voyais pas mettre un beat R'n'b, ou la tourner pop rock pour être branché !

    Pensez-vous que c'est pour cette raison que vous avez essuyé des refus de la part des maisons de disque ?
    Sincèrement, les maisons de disques ne m'ont jamais dit que ma production sonnait trop «variété», elles sont seulement frileuses de défendre un message gay. Vous savez, relever le challenge de produire un chanteur «gay», n'est pas si évident pour elles… même si nous sommes en 2010 et que l'homosexualité n'est plus taboue. En théorie, tout le monde accepte tout le monde mais lorsqu'il s'agit d'avancer… ça coince! Avec tous les mails de soutien et d'amour que je reçois, si demain les téléchargements explosent, je suis certain que des maisons de disques se tourneront vers nous. Le public a toujours le dernier mot… Enfin je veux y croire !

     

    Sources & Photos : Têtu


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  • Rencontre avec David O'Mer, bel apollon qui fait fantasmer tous les soirs les spectateurs de la «Clique» avec son numéro ultra sexy dans une baignoire.

    Il y a quelques mois, TÊTU avait déjà applaudi La Clique, à Dublin (lire notre article). On avait prédit des prolongations. C'est exactement ce qui s’est passé. Depuis octobre, ce show burlesque, qui propose une série de numéros ultra sexy chics, fait un véritable triomphe à Paris sur la scène de Bobino. On y voit des corps qui n'hésitent pas à s'effeuiller devant un public plus chaud que la braise. Comment oublier Amy G, une show-girl montée sur rollers? Et la belle Ukrainienne? Il y a de jolis garçons aussi, mignons, craquants. Style torse nu pectos d'acier, abdos parfaitement dessinés… Mention hautement favorable pour Bret Pfister. Mèche sur l'œil, Diesel délavé et taille basse, le jeune homme se roule, s'enroule, avec délectation, autour d’un cercle de métal. Levé de chapeau aussi (c'est de circonstance!) pour Otto Wessely, un clown-magicien déjanté. Mais surtout, plébiscite pour David O'Mer apollon allemand de 28 ans. A moitié nu, au jeans moulant mouillé, il ravit tous les soirs des spectateurs de La Clique.

    Entretien.

    TÊTU : La Clique, c'est quoi pour vous ?
    David O'Mer : Aujourd’hui, c’est mon quotidien! Un jour, bientôt peut-être, ce seront des souvenirs… J'ai fait partie du tout premier spectacle qui a été monté, en 2004, pour le Festival d’Édimbourg, en Écosse. Depuis, je n’ai jamais quitté l’équipe. Le show évolue sans cesse, de jour en jour parfois. Les artistes défilent à une vitesse folle et je voyage sans arrêt. En 6 ans, avec La Clique, j'ai eu la chance de voir l'Australie, le Canada, la Nouvelle-Zélande, les États-Unis… Et maintenant, je visite Paris. La Clique, pour moi, c’est génial…

    Comment est né votre numéro «L'Homme-bain» ?
    Il y a longtemps déjà. J'étais encore tout petit quand j’ai vu, pour la première fois, un homme faire de la voltige, s'élever dans les airs, danser, et replonger dans une baignoire. C'était en Australie. J'ai été scotché, d'emblée. Par la prestation de l'artiste, par le magnétisme de l'eau! Tout de suite, j'ai voulu, moi aussi, devenir «l'homme-bain». J'ai travaillé plus d'un an pour m'approprier le numéro, pour faire croire à une très grande facilité.

    C’est une prestation très sensuelle…
    C’est vrai. L'eau sublime un corps, le fait briller. Je m'en sers comme d'un jeu. Pour moi, elle devient une partenaire, une compagne. Dans mon numéro, l'eau fait partie intégrante du show. Elle tient une place déterminante, un rôle à elle seule.

    Les baignoires, ça ne vous ennuie jamais ?
    J’ai toujours préféré les douches, l'eau qui coule. Mais… vous n'êtes pas obligé de le répéter !

    Il existe une formation, un apprentissage particulier, pour devenir un «homme-bain» ?
    Je suis gymnaste à la base. J’ai commencé la compétition depuis l’âge de 4 ans. C’est cette pratique assidue, intense, cette exigence quotidienne, que je me suis imposée durant des années, qui me permet aujourd’hui de jouir d’une parfaite maîtrise de mon corps. J’ai regardé beaucoup de vidéos aussi, pour réussir à bouger dans l’air, à y prendre du plaisir. Je voulais danser, m’amuser dans l’espace, défier les lois de l’apesanteur, donner une impression de facilité, de légèreté, presque de naturel.

    Petit garçon, vous vouliez faire quoi ?
    Courir, sauter, bouger. Je n’ai jamais rêvé de porter un costume et une cravate, de gagner de l'argent. Je voulais pouvoir dormir tard, me coucher à l’aube…

    Avez-vous conscience de l’impact que vous suscitez sur les gays ?
    Absolument! Certains hommes crient plus fort que les femmes parfois. Ça me fait rire! Pour moi, durant mon show, il n’existe pas de garçons, de filles, de gays ou d’hétéros. Il y a des spectateurs, c’est tout. Des gens qui applaudissent un peu, beaucoup, d’autres qui se cachent pour éviter les gouttes. Je joue avec le public le plus réceptif, le plus expressif, très souvent avec des hommes d’ailleurs !

    Il y a quelques années, à la fin d’une représentation, à Londres, j’ai été abordé par un peintre photographe gay, Nigel Cox. Je ne connaissais pas du tout son oeuvre. Il m’a demandé l’autorisation de me photographier. Il voulait réaliser une série de clichés, des visuels qu'il a peints et customisés par la suite. Sa démarche a été purement artistique, sublime, pas sexuelle. Nous sommes restés très amis. J'adore son travail! Je suis fier d’avoir été l’un de ses modèles!

    Que ferez-vous dans dix ans ?
    Du surf sur une plage. Ou du saut en parachute. Entre l’eau et l’espace, l’air, le vide, je n’ai jamais pu choisir…

    La Clique, jusqu’au 26 juin, à Bobino, à Paris.

     

    Sources & photos : Têtu


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  • Cédric Heymans, né le 20 juillet 1978 à Brive (Corrèze), est un joueur de rugby à XV français. Il joue en équipe de France et évolue au poste d'ailier gauche ou arrière au sein de l'effectif du Stade toulousain.

    Pour l'anecdote, il est le gendre de Christian Badin. Il a été meilleur marqueurs d'essai du Stade Toulousain pendant très longtemps et été elu meilleurs ailier du Top 14 pendant plusieurs années consécutives.

    Sources : Wikipédia
    Photos :
    Casperfan


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