• Un concours de calendriers nus bientôt sur TF1 ?

    La société de production de Christophe Dechavanne a acquis les droits de diffusions de «Calendar of the Year». Le principe? Des anonymes doivent réaliser le meilleur calendrier nu au profit d'une association. Découvrez des images de la version espagnole.

    C’est bien connu: le nu fait vendre. Entre les Dieux du Stade, les calendriers dénudés de pompiers sexy, ouvriers d’usine et autres sportifs amateurs, tout le monde s'y met. Et finalement pourquoi pas vous ? Voilà l'idée que pourrait exploiter TF1 dans les prochains mois, en lançant un grand concours national de calendrier en tenue d'Adam.

    En effet, la société de Christophe Dechavanne, Coyote, qui produit de nombreux prime times pour la première chaîne, a annoncé au MIPTV (grand marché des programmes audiovisuels qui s’est tenu cette semaine à Cannes) qu’elle avait acquis les droits de diffusion du jeu Calendar of the Year.

    Une concours sexy déjà adapté dans dix pays
    Dans cette émission, des téléspectateurs doivent réaliser un calendrier nus un afin de récolter des fonds pour une association. Les candidats sont répartis parmi plusieurs équipes correspondants chacune à un métier. Ainsi, des infirmières pourront affronter des pompiers, ou encore des rugbymen professionnels…

    Ce programme, d’une durée de 90 minutes, a d’abord été lancé sur la télévision basque espagnole ETB2 (voir vidéo) et a été depuis adapté dans 10 pays (Norvège, Suède, Finlande, Danemark, Etats-Unis, Italie, Allemagne, Australie, Belgique et Roumanie). Calendar of the Year pourrait être diffusé en France, sans doute sur TF1, d'ici à la fin de l'année.

    La bande-annonce de Calendar of the Year, version espagnole :

    La vidéo d'un duel pompiers-patineuses (en VO) :

    Celle du shooting des surfeurs :

    Des images d'une équipe de pelote basque, qui a participé au concours espagnol en 2008 :

     

    Sources & photos : Têtu


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  • Fernando Verdasco: «Certains joueurs me mettent la main au paquet !»

    INTERVIEW. Actuellement engagé dans le Masters 1000 de Monte-Carlo, le tennisman Fernando Verdasco est revenu pour TÊTU –et avec le sourire !– sur cette campagne de publicité désormais fameuse qui lui vaut d'être exposé en slip sur les murs du monde entier.

    Ce matin-là à Monte-Carlo, Fernando Verdasco est habillé. Mais le regard noir, les cheveux de jais, les fossettes et le sourire tellement craquant font presque autant d'effet que la vue de sa chair dénudée. Celle que l'on fait plus que deviner sur les photos en noir et blanc qui illustrent la campagne «X» de Calvin Klein. Même avec une casquette blanche, et un survêtement (cintré, quand même le survêt' !) noir et bleu, le tennisman espagnol est si caliente et dégage un tel sex-appeal qu'on comprend aisément pourquoi la marque l'a choisi pour être, aux côtés d'autres beaux gosses tels que Kellan Lutz, Mechad Brooks ou Hidetoshi Nakata, son nouveau, hum, visage. En Principauté, où il dispute un tournoi cette semaine, le beau «Nando» a accepté de revenir pour TÊTU sur cette expérience de mannequin. Rencontre.

    Fernando, à titre personnel, êtes-vous satisfait de cette campagne et des photos sur lesquelles vous apparaissez ?
    Bien sûr! Pour moi, c'est une super expérience. Il s'agit d'une campagne mondiale. Et maintenant, d'ailleurs, je suis affiché presque nu sur les murs du monde entier ! (rires) Mais cette fois, la séance était facile car j'avais déjà posé complètement nu pour Cosmopolitan dans le cadre d'une campagne de lutte contre le cancer (sourire). Là, à moitié nu seulement, ça allait tout seul !

    Quelles ont été les réactions autour de vous? De la part des autres joueurs de tennis, par exemple…
    Certains joueurs –je parle de ceux que je connais bien et en qui j'ai entière confiance– me chambrent un peu, c'est vrai. Il y en a qui m'envoient sur mon téléphone des photos d'eux devant mon poster quand ils passent devant dans la rue. D'autres vont même jusqu'à mettre la main sur mon paquet sur l'affiche (sourire) !

    Et du côté de votre famille et de vos amis ?
    Ils ont tous très bien réagi. Ils pensent comme moi qu'il s'agit d'une chance incroyable qui m'a été donnée, qui plus est par une marque tellement énorme… Mon entourage est content, donc tout va bien. Et moi, je pense que c'est bon pour mon image.

    Avez-vous eu plus de retours de la part de filles ou de garçons sur ces photos de vous en sous-vêtements ?
    Certaines personnes m'ont dit que beaucoup de filles adoraient cette campagne. Je ne sais pas si c'est vrai. En tout cas, je n'ai pas vu soudain toutes les filles courir vers moi et me dire: on veut ton corps! (sourire) Moi, tout ce que je peux dire, c'est que dernièrement, pendant le tournoi de Miami, deux filles sont venues me voir avec une pile de posters de cette campagne et qu'elles m'ont demandé de tous les signer.

    Pas de garçons, alors ?
    Eh non, pas encore de garçons (sourire)… que des filles! Affaire à suivre !

     

    Sources & photo : Têtu


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  • Australie: un nageur quadruple médaillé olympique sort du placard.

    Le nageur Daniel Kowalski, triple médaillé aux Jeux olympiques de 1996, médaillé d'or en relais en 2000 et six fois champion du monde, a fait son coming out ce week-end dans un journal.

    En fin de carrière, il était resté dans l'ombre des Ian Thorpe ou Grant Hackett. Pourtant, quelques années avant l'émergence de la nouvelle génération, c'est bien Daniel Kowalski qui dominait les épreuves de demi-fond. En 1996, le natif de Singapour avait remporté trois médailles aux Jeux d'Atlanta. En 2000, il avait été le cinquième homme du relais 4x200 qui a remporté l'or. Il a également à son actif six titres mondiaux. Alors, forcément, dans un pays où le sport en général et la natation en particulier tiennent une place si particulière, lorsqu'un champion de son rang sort du placard, le geste ne passe pas inaperçu.

    Car ce samedi, Daniel Kowalski a fait son coming out dans une chronique publiée par le quotidien The Age. À 33 ans, l'ancien champion explique: «Malgré les moments sombres, pleins de peur et solitaires, être capable d'écrire ceci (qu'il est gay) me remplit de liberté, de fierté et de soulagement. J'ai vraiment la sensation que tout se passera bien.» Si le nageur a hésité si longtemps avant de faire une telle déclaration, c'est parce qu'il n'était pas en paix avec lui-même.

    «Si j'avais eu des modèles, cela m'aurait aidé»

    «J'ai lutté pendant très, très longtemps, écrit-il, je me suis demandé si être gay faisait de moi une mauvaise personne, mais je ne peux me battre plus longtemps contre celui que je suis vraiment et qui, dit simplement, est juste moi.» Daniel Kowalski aurait également souhaité, poursuit-il, pouvoir s'appuyer, plus jeune, sur des modèles de sportifs out.

    «Je pense souvent, dit-il, que si j'avais eu des gens dont m'inspirer, sur qui lire des choses, et si ces gens avaient été des athlètes de haut niveau et qu'ils avaient été accessibles, des personnes qui avaient vécu les mêmes expériences que moi en tant que sportif, alors, cela m'aurait aidé. Mais pour avoir vécu la situation, je comprends pourquoi si peu de sportifs de premier plan ont fait leur coming out.» Après Ian Roberts et, plus récemment Matthew Mitcham, Daniel Kowalski est le troisième sportif de haut-niveau australien à faire son coming out. Mais le beau Matthew est jusqu'à présent le seul à l'avoir fait alors qu'il est encore en activité.

    Sources & photos : Têtu


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  • Ricky Martin gay, nu et fier de l’être.

    On le sait depuis son coming out (lire notre article), Ricky Martin est l'une des stars qui entretiennent avec leurs fans le lien le plus étroit via son compte Twitter. La bomba latina s'adresse régulièrement à ses followers anglophones et hispanophones, via son compte officiel @ricky_martin. C'est là qu'il a envoyé en avant-première ses fans vers l'annonce de son coming out, puis remercié ceux qui l'ont soutenu – «Comment ça va les amis ? Moi super bien! Plus fort que jamais! Je me détends chez moi en lisant vos messages! Je sens votre amour! Merci pour tout! Peace», écrivait-il le 30 mars, au lendemain d'un coming out forcément très repris par les médias traditionnels.

     

    Sources & photos : Têtu


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  • C’est un programme qui sent bon le terroir, comme les affectionnent les téléspectateurs suisses: une TV privée alémanique compte adapter son émission à succès «Baueur, ledig, sucht…» («Paysan seul cherche…») aux homosexuels…
    Le rendez-vous vedette de la chaîne 3+ suit des agriculteurs et agricultrices célibataires en quête de l’âme sœur. Sa production a sollicité l’organisation suisse des gays pour trouver des candidats. Pink Cross a averti qu’ils seraient difficiles à débusquer, beaucoup d’entre eux vivant leur sexualité en secret.

    En attendant, la démarche ne fait de loin pas l’unanimité parmi les participants actuels de «Paysan seul cherche…» Interrogé par «20 minuten», le Bernois Serge prédit que l’idée va «ficher en l’air» la jeune télévision qui monte, tandis que le Zurichois Adrian estime qu’il est «dommage que toutes les émissions doivent aborder le thème gay et lesbien. On n’est plus normaux quand on est pas homo.» Des réactions qui laissent pantois le présentateur Marco Fritsche (photo), lui-même ouvertement gay: «Je ne peux pas m’imaginer que ce soit un problème de faire participer des gays», se désole-t-il.

    Sources & photos : Actu Gay


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