• Sortie en France 09 décembre 2009
      Titre original : The Stepfather
      USA
      Réalisateur : Nelson McCormick
      Thriller
      100 mn

    Distribution :

    Dylan Walsh (David Harris), Sela Ward (Susan Harding), Penn Badgley (Michael Harding), Christopher Meloni (Jay Harding), Sherry Stringfield (Leah), Braeden Lemasters (Sean Harding), Andrew Fiscella, Kara Briola (L'assistante), Jon Tenney (Jay), Amber Heard (Kelly)

    Synopsis :

    Après avoir terminer son école militaire, Michael rentre à la maison. Il y découvre sa mère en pleine histoire d'amour avec son nouvel petit-ami David Harris. Alors que les deux hommes commence à se connaître, Michael devient de plus en plus suspicieux : son beau-père a toujours là pour rendre service, mais ne serait-ce pas un leurre pour caché les pires travers ? Le jeune homme décide alors de mener l'enquête avec de quelques amis et ne tarde pas à découvrir que ce "gentil homme" est un serial killer qui aurait déjà éliminé plusieurs familles... Déjà, dans le quartier, les quelques personnes ayant remarquées les incohérences du récit de David Harris commencent à mystérieusement disparaître. Michael doit rapidement mettre ses proches en sécurité...

    Secrets de tournage.

    Remake du "Beau-père"

    Ce film n'est autre que le remake du Beau-Père, un thriller de Joseph Ruben réalisé en 1987. Ici, c'est Dylan Walsh qui joue le rôle-titre, succédant ainsi à Terry O'Quinn qui avait incarné ce personnage fort peu recommandable dans la version d'origine.

    Changement de point de vue

    Contrairement au film de 1987, Nelson McCormick a choisi de raconter l'histoire du point de vue du fils Michael, et non plus du beau-père David. "Michael donne un point de vue extérieur à la famille, explique le réalisateur, il est parti il y a plusieurs années pour aller dans une école militaire. En fait c'est sa mère qui l'y a envoyé car son comportement devenait ingérable. Quand il revient, il voit donc ce que les autres ne voient pas. David a déjà envoûté tout le monde en tant gentil et serviable. Michael est donc l'observateur le plus neutre de l'histoire."

    Un acteur qui passe du bistouri au couteau de cuisine

    Dylan Walsh a d'abord été révélé par la tranchante série Nip/Tuck, dans laquelle il jouait le rôle d'un chirurgien esthétique très doué mais un peu paumé. Une interprétation bien éloignée de celle d'un beau-père serial killer. D'ailleurs, quand on lui demande quelles sont les différences entre ces deux personnages, Dylan Walsh répond avec humour :" de plus grand couteaux" avant d'ajouter "je me suis beaucoup amusé à faire ce rôle ostensible de méchant gars. Dans Nip/Tuck, ce n'était pas possible de jouer un mec comme ça. Mais là, dans The Stepfather, c'est comme si on pouvait aller et venir entre les deux personnages, et revenir à la partie familiale de l'histoire. C'était marrant et libérateur." Pourtant, il y eut plusieurs auditions pour le rôle de David Harris. Mais selon le producteur Mark Morgan, Dylan Walsh a impressionné tout le monde avec sa large palette de jeu. "Il a une personnalité douce, jovial et digne de confiance. Quand on le regarde travailler, c'est délicat et subtil, quand son sourire apparaît une seconde et disparaît, c'est flippant. Quand il se met vraiment en colère dans les scènes les plus violentes du film, vous vous dites : 'Oh mon dieu !'. Je pense que vous avez plus peur de quelqu'un quand vous ne vous attendez pas à cela de sa part."

    Le premier beau-père refuse le second

    En 1987, l'acteur Terry O'Quinn incarnait David Harris, le beau-père serial killer. Pour son remake, Nelson McCormick lui aurait demandé d'apparaître à l'écran, une sorte de petit clin d'oeil au film original. Mais l'acteur a finalement refusé le cameo, selon le producteur Mark Morgan.

    Tourné en Californie en mars 2008

    Le Beau-père a été tourné en mars 2008 en Californie, à Los Angeles et Santa Clarita, ainsi qu'aux studios Sony Pictures. (Allociné)

     

    Bande-annonce, Extraits

     


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    • Année de production 2009
      Sortie en France 23 décembre 2009
      USA, Argentine
      Réalisateur : Francis Ford Coppola
      Drame
      127 mn

    Site officiel USA
    Site officiel France

    Distribution :

    Vincent Gallo (Tetro), Alden Ehrenreich (Bennie), Maribel Verdu (Miranda), Rodrigo De la Serna (Jose), Klaus Maria Brandauer (Carlo), Mike Amigorena (Abelardo), Sofía Gala (Maria Luisa), Leticia Bredice (Josefina), Carmen Maura

    Synopsis :

    Tetro est un homme sans passé. Il y a dix ans, il a rompu tout lien avec sa famille pour s'exiler en Argentine.
    A l'aube de ses 18 ans, Bennie, son frère cadet, part le retrouver à Buenos Aires.
    Entre les deux frères, l'ombre d'un père despotique, illustre chef d'orchestre, continue de planer et de les opposer.
    Mais, Bennie veut comprendre. A tout prix. Quitte à rouvrir certaines blessures et à faire remonter à la surface des secrets de famille jusqu'ici bien enfouis...

    Secrets de tournage.

    Coppola à Cannes : le retour

    Avec Tetro, Coppola signe son grand retour à Cannes en tant que réalisateur depuis sa seconde Palme d'Or pour Apocalypse Now. Toutefois il ne présente pas le film en Sélection officielle mais dans le cadre... de la Quinzaine des réalisateurs où le film fait l'ouverture en mai 2009.

    35 ans après

    Tetro est le premier scénario original écrit par Coppola depuis Conversation secrète.

    Avant Gallo

    Avant que Vincent Gallo ne prête ses traits à Tetro, Coppola souhaitait que Matt Dillon interprète le rôle qui était à l'origine écrit pour lui.

    Changement de sexe

    Le personnage d'Alone devait, au départ, être joué par Javier Bardem. Mais Coppola décida de changer le sexe du personnage pour créer une nouvelle tension avec Tetro et remplaça le comédien par Carmen Maura.

    A l'origine

    Francis Ford Coppola raconte comment le film s'est peu à peu imposée à lui : "J'avais déjà une idée de l'histoire grâce à quelques pages de notes rédigées il y a très longtemps. Il y était question d'un adolescent parti à la recherche d'un frère aîné qui avait rompu brutalement tout lien avec sa famille. J'avais envie de situer le film dans une ville étrangère et j'ai choisi Buenos Aires tout simplement parce que j'y aime la musique, la culture et la nourriture. C'est ce petit fragment de récit que j'ai commencé à développer, alors que j'étais en plein montage de L'Homme sans âge."

    Le coup de coeur pour Buenos Aires

    Coppola est tombé sous le charme de l'Argentine et de Buenos Aires en 1998. Il accompagnait alors sa fille, Sofia, qui y présentait un court métrage, Lick the star.

    Coppola et la famille

    La famille a toujours eu une place importante dans le cinéma de Coppola (cf. Le Parrain, Rusty James). Tetro pourrait même avoir des résonances autobiographiques : "Je crois plutôt qu'il y a dans tous les personnages une partie de moi, de mon frère, peut-être même de mon père..." explique Coppola. "J'ai vécu les sentiments et les rivalités que je dépeins à l'écran, mais l'histoire du film n'a rien à voir avec la mienne. Par exemple, mon père Carmine était un compositeur talentueux, certainement trop centré sur lui-même pour être un artiste accompli, mais c'était un homme très doux, un père merveilleux : tout l'inverse de celui que je décris dans le film !"

    Un air de "Rusty James" ?

    Tetro est le second film tourné en noir et blanc (partiellement) par Coppola après Rusty James, où la figure du grand frère avait déjà une importance prépondérante.

    Influences visuelles

    Pour créer l'univers visuel du film et le noir et blanc, le réalisateur et son directeur de la photographie Mihai Malaimare Jr. ont étudié des films comme La Nuit, Baby Doll et Sur les quais.

    Nouveau venu

    Francis Ford Coppola raconte comment s'est déroulée la rencontre avec le jeune Alden Ehrenreich qui joue le personnage de Bennie : "J'étais obsédé par le souvenir de La Fureur de vivre : James Dean était censé y jouer un étudiant alors qu'il avait la tête d'un gamin tout juste sorti de lycée (rires). Nous avons commencé à organiser des auditions avec Fred Roos, qui est aussi producteur exécutif du film. C'est lui qui a entendu parler des films que faisait Alden avec ses copains d'université. Il n'avait jamais tourné pour le cinéma auparavant. Je lui ai donné un monologue à travailler, un extrait de "L'attrape-coeur" où Holden évoque le souvenir de son frère Allie. J'ai été impressionné par le résultat : Alden a quelque chose de Brando jeune, physiquement et dans son jeu. Il a aussi un côté Montgomery Clift ou DiCaprio à leurs débuts."

    Tetro Artaud

    Pour créer le personnage de Tetro, Coppola s'est inspiré du physique de l'artiste Antonin Artaud.

    Tournage menacé ?

    En septembre 2007, Coppola s'est fait voler son ordinateur à Buenos Aires. Le scénario du film s'y trouvait.

    Sur place

    Tetro a été tourné en 13 semaines à Buenos Aires même ainsi que dans certains de ses édifices prestigieux comme le Teatro Nacional Cervantes et le Palacio San Souci

    Des problèmes sur le tournage

    Fin mai 2008, durant le tournage de Tetro, le syndicat des acteurs argentins (Asociacion Argentina de Actores) dépose une plainte à l'encontre de la société de production Zoetrope Argentina, un nombre considérable d'acteurs argentins apparaissant dans le film n'ayant, semble-t-il, jamais signé le moindre contrat. Le 20 mai, le syndicat pose un ultimatum de 48 heures à Zoetrope Argentina pour leur présenter les contrats. N'ayant obtenu aucune réponse, quatre jours plus tard, les acteurs argentins cessent tout bonnement le travail, mettant ainsi en péril la production de Tetro. La porte-parole de Francis Ford Coppola réfutera ces accusations, ajoutant que la production du film se déroulait comme convenu. (Allociné)

     

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    • Année de production 2008
      Sortie en salle 12 mai 2010
      Belgique, France
      Réalisateur : Mehdi Ben Attia
      Drame
      93 mn

    Distribution :

     Claudia Cardinale (Sara), Antonin Stahly-Vishwanadan (Malik), Salim Kechiouche (Bilal), Ramla Ayari (Syrine), Anissa B'Diri (Aida), Mehdi Ben Attia (Le médecin), Abir Bennani (Leila), Mohamed Ali Cherif (Habib), Lotfi Dziri (Abdelaziz), Hosni Khaled (Moncef), Rihab Mejri (Wafa), Ali Mrabet (Wassim), Driss Ramdi (Hakim), Samia Rhaiem (Raja), Djaouida Vaughan (Frida), Ali Zaouche (Youssef), Mohamed Graïaa (Le fou)

    Synopsis :

    De retour en Tunisie, après la mort de son père, Malik, la trentaine, doit à nouveau vivre chez sa mère. Il voudrait lui dire qu'il aime les hommes, mais il n'y arrive pas et s'enfonce dans ses mensonges.
    Lorsqu'il rencontre Bilal, tout devient possible : le jeune architecte, son amant et sa mère s'affranchissent des interdits pour embrasser pleinement la vie. Dans la chaleur de l'été tunisien, chacun va toucher du doigt le bonheur auquel il a longtemps aspiré...

    Secrets de tournage.

    Un film plastique

    « Je voulais faire un film plastiquement travaillé, que ce soit beau et accessible. A cause de son sujet, je ne souhaitais pas enfermer ce film dans un ghetto pour initiés ou minoritaires. Je désirais qu’il y ait une espèce d’évidence qui passe par la forme. » Profitant de la lumière et du paysage tunisien, le metteur a pu travailler la beauté plastique voulue avec son chef opérateur : « On se connaît depuis longtemps et on avait envie de travailler ensemble depuis des années. On était donc au point sur nos références communes tout en se méfiant de ce piège du cinéphile qui va faire son premier film et se noie dans les clins d’oeil à telle ou telle œuvre. »

    Les obstacles au projet

    Si l’équipe du film ne s’attendait pas à recevoir quelque aide que ce soit de la part du Ministère de la Culture tunisien, elle n’avait pourtant pas prévu les difficultés à obtenir l’autorisation de tourner: « (…) On s’est vraiment heurté au blocage d’un homme, le ministre de la culture de l’époque, qui ne voulait pas signer l’autorisation de tournage. On était tous très inquiets, même si au fond de moi je ne pouvais pas croire que je risquais de renoncer à tout, si près du but. À trois jours du début du tournage, on était encore sans autorisation et on savait de source sûre que le ministre n’avait pas l’intention de signer. Et si le film a été sauvé, on le doit à la présence de Claudia Cardinale. Claudia a grandi dans ce pays mais n’y avait quasiment jamais tourné. Comment pouvaient-ils alors interdire son grand retour ? On s’est battus, on a finalement eu l’autorisation et, à partir de là, j’ai vraiment fait ce que j’ai voulu», explique le cinéaste.

    Mehdi Ben Attia aimerait bien que le film puisse être projeté en Tunisie, ce qui n'a rien d'évident : « Il faudra le montrer à la commission de classification qui va sans doute demander des coupes... que je refuserais probablement. Mais l’idée que le film pourrait ne jamais être vu à Tunis me fait mal au cœur, d’autant plus que le film n’a, à mon sens, rien de choquant. »

    Un film dans la bourgeoisie tunisienne francophone

    Une des particularités du film est de se passer dans un milieu rarement mis à l’écran. Ce choix vient de la volonté de Mehdi Ben Attia de « refuser le film écrit d’avance »: « j’ai situé mon intrigue dans la bourgeoisie tunisienne francophone que j’ai l’impression de n’avoir jamais vue dans les films, à l’exception de la jeunesse dorée montrée dans Marock.», précise t-il.

    Le choix de Salim Kechiouche

    « Cela faisait longtemps que je voulais travailler avec Salim, car c’est un comédien que j’adore. Le rôle est d’ailleurs écrit pour lui, même s’il a un côté icône gay dont je me méfiais et dont il se méfie d’ailleurs aussi. J’ai donc imaginé son personnage avec cet aspect-là en tête, comme une contrainte, sans faire comme si elle n’existait pas. »

    Le choix de Claudia Cardinale

    Mehdi Ben Attia pensait déjà à Claudia Cardinale quand il a écrit le film. « Elle dégage quelque chose de maternel... et de tunisien même si ça fait longtemps qu’elle a quitté le pays. J’ai donc voulu écrire pour elle. » Même si son personnage ne semble pas aimable aux premiers abords, c’est pourtant ainsi que le scénariste le définit : « Moi, je la trouve infiniment aimable, quels que soient ses défauts. C’est une mère méditerranéenne, possessive qui a beaucoup de pouvoir en particulier sur son fils sans vraiment s’en rendre compte. Elle n’est jamais dans la remise en question, elle croit savoir que ce qui est bon pour les autres, c’est ce qui a été bon pour elle ! »

    Le choix d’Antonin Stahly

    « J’ai fait un casting qui a été assez long puisque j’ai été confronté à la difficulté de trouver un comédien maghrébin qui accepte ce type de rôle. Et là, parmi les personnes que j’ai vues, il y avait Antonin que je connaissais par des amis. Et je dirais qu’on s’est choisi. Antonin est comédien mais fait surtout du théâtre ou de la musique (…). Et une fois qu’il a accepté, il a dû apprendre très vite des notions d’arabe et surtout relever le challenge d’entrer dans le personnage. Mais il y avait chez lui une dimension de défi dans l’acceptation de ce rôle. Dès qu’il y avait quelque chose de complexe à faire - scène de sexe, tirade en arabe... - il y allait avec un entrain étonnant... »

    La mise en place du scénario

    Partant de l’idée d’une histoire d’amour entre garçons en Tunisie, le scénariste devait ensuite construire un film. De nombreux aspects étaient soulevés : le passé, l’identité, la culture, la tradition ou encore la famille…. La construction du scénario pouvait donc s’avérer complexe : « Ça n’a pas vraiment été compliqué mais assez long de trouver la colonne vertébrale de ce récit. Au départ, il y avait juste cette envie de raconter une histoire d’amour entre garçons en Tunisie et cette idée du fil qui, physiquement comme symboliquement, relie le héros à son passé. Après, il a fallu construire une situation dramatique, ce qui prend beaucoup de temps, puisque je ne voulais pas que l’homosexualité des protagonistes soit considérée comme un drame. », explique Mehdi Ben Attia.

    L’idée était aussi selon lui de ne pas suivre la logique sociale qui voudrait que, vu l’histoire, le film soit centré sur les pressions islamistes ou du moins traditionalistes du pays. « (…) Je voulais à tout prix m’en écarter car il me semble qu’il est plus subversif de raconter une histoire d’amour entre garçons dans un pays arabe où tout se passe bien ! Je me suis rendu compte que l’interdit dans la tête des gens est beaucoup plus social que politique. Je suis assez mal à l’aise par rapport à une vision victimiste de l’homosexualité car j’ai l’impression que les gens qui se situent dans cette perspective reconduisent ce qu’ils dénoncent et perpétuent ainsi quelque part, malgré eux, l’homophobie. »
    Un film personnel

    Mehdi Ben Attia est venu vers le cinéma notamment par le biais de l’écriture et se définit plus facilement comme scénariste que réalisateur. Le cinéma reste néanmoins le mode d'expression vers lequel il va le plus facilement: « En fait, j’ai ce film en tête depuis que je veux faire du cinéma. Ou plutôt depuis que je me suis aperçu que pour faire du cinéma, il fallait que je sois personnel. Cette intention-là est donc à la base du film. Et celui-ci est donc assez proche de moi, même s’il n’est pas autobiographique car ma vie n’est pas celle de mes personnages. Mais il se situe dans un milieu qui m’est familier. C’est mon territoire, ce sont mes problématiques et ma Tunisie, assez différente de celle qu’on voit habituellement au cinéma », explique t-il. (Allociné)

     

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    • 2009
      Titre original : Chun feng chen zui de ye wan
      Sortie en salle 14 avril 2010
      Chine
      Réalisateur : Lou Ye
      Comédie dramatique
      115 mn

    Distribution :

    Qin Hao (Jiang Cheng), Chen Sicheng (Luo Haito), Wei Wu (Wang Ping), Tan Zhuo (Li Jing), Jiang Jiaqi (Lin Xue)

    Synopsis :

    Nankin, de nos jours. Luo Haitao a été engagé par la femme de Wang Ping pour espionner la relation passionnée que celui-ci entretient avec un homme. Mais la situation lui échappe : Luo Haitao et Li Jing, sa petite amie, sont aspirés dans cette relation, submergés par le tourbillon des nuits d'ivresse printanière. Ils sont tous bientôt possédés par une exaltante folie des sens, un mal dangereux qui soumet les coeurs et égare les esprits...

     

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    • 2002
      Titre original : Murder in Portland
      USA
      Réalisateur : Gael Richards
      Drame
      99 mn

    Distribution :

    Clint Ashley, John Baumgartner, Cory Kaster, Vicky Kors, Michael Lyon, Maurice Maxwell, Michael S. Parker, Zac Taber, Anthony Todero

    Synopsis :

    Un jeune antiquaire, Grant, tombe amoureux d'un garçon muet rencontré par hasard. Ils filent le parfait amour jusqu'à ce que l'associé de Grant soit assassiné lors d'un week-end à Portland. Jeff, un tout jeune officier de police, est envoyé incognito dans le milieu gay pour recueillir des informations sur ce meurtre. Choisi à cause de son physique avantageux, Jeff devient vite le nouveau chouchou de la communauté gay locale surtout après un strip-tease remarqué dans une discothèque … Mais rien ne semble pouvoir expliquer le double meurtre de Portland. S'agit-il d'une vengeance, d'un crime homophobe, d'un règlement de compte ? La vérité pourrait bien être plus terrifiante encore…


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