• 2009
      USA
      Réalisateur : Tom Ford
      Drame
      99 mn

    Distribution :

    Colin Firth (George), Julianne Moore (Charlotte), Matthew Goode (Jim), Ginnifer Goodwin (Mrs. Strunk), Nicholas Hoult (Kenny), Ryan Simpkins (Jennifer Strunk), Paulette Lamori (Alva), Nicholas Beard, Brad Benedict, Paul Butler, Ridge Canipe, Alicia Carr, Jenna Gavigan, Brent Gorski, Adam Gray-Hayward, Marlene Martinez, Jeremy Mitchell, Lindsay Moulton, Tricia Munford,  Lee Pace, Keri Lynn Pratt, Aaron Sanders, Teddy Sears, Adam Shapiro, Nicole Steinwedell, Maya Waterman

    Synopsis :

    « A Single Man », tiré du roman du même nom de Christopher Isherwood, le film se déroule dans le Los Angeles des années 60 où George Falconer (Colin Firth), un professeur homosexuel quinquagénaire, tente de retrouver un sens à sa vie après la disparition de son partenaire de longue date, Jim (Matthew Goode). George pense au suicide. Dans cette épreuve, il est entouré de son amie proche, Charley (Julianne Moore) et d'un étudiant Kenny, interprété par Nicholas Hoult, que vous connaissez pour son rôle de Tony dans la série « Skins ». (GayClic)

    Bande-annonce

     


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    • 1998
      Titre original : The Wolves of Kromer
      Grande-Bretagne
      Réalisateur : Will Gould
      Drame
      82 mn

    Distribution :

    Rita Davies, Matthew Dean, Rosemarie Dunham, Boy George, James Layton, Leila Lloyd-Evelyn, Kevin Moore, David Prescott, Angharad Rees, Margaret Towner, Lee Williams

    Synopsis :

    Kromer : un petit village anglais très ordinaire. En apparence. Dans les bois vivent deux jeunes loups très beaux, presqu'humains, Seth et Gabriel. Ils s'aiment dans un monde où l'on n'aime ni les loups, ni l'amour, encore moins le sexe.
    Une grande maison proche des bois : deux vieilles bonnes diaboliques préparent leur coup. Après avoir assassiné leur maîtresse, elles accusent les loups et entraînent les villageois, trop contents de l'aubaine, dans une traque sans pitié.

    Bande-annonce

     


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    • 1967
      Titre original : Reflections in a Golden Eye
      USA
      Réalisateur : John Huston
      Drame
      108 mn

    Distribution :

    Elizabeth Taylor (Leonora Penderton), Marlon Brando (Maj. Weldon Penderton), Brian Keith (Lt. Col. Morris Langdon), Julie Harris (Alison Langdon), Zorro David (Anacleto), Gordon Mitchell,  Irvin Dugan (Capt. Murray Weincheck), Fay Sparks (Susie), Robert Forster (L.G. Williams)

    Synopsis :

    Dans un camp militaire, la femme du commandant trompe son ennui en faisant du cheval avec le lieutenant-colonel, dont la femme est névrosée. Ils sont amants. Williams, un soldat puceau, les surprend et se sent attiré par la femme, qu'il va observer, la nuit, dans son sommeil. Le commandant est attiré lui aussi par le jeune soldat...

    Bande-annonce

     


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    • 2002
      Canada
      Réalisateur : Brad Fraser
      Comédie Dramatique
      89 mn

    Distribution :

    Troy Ruptash (David), Vince Corazza (Matt), Lynda Boyd (Kryla), Cherilee Taylor  (Violet), Thom Allison (Shannon)

    Synopsis :

    David, peintre à succès, gay, est en manque d'inspiration et recherche un nouveau souffle. Sa notoriété et la vie facile l'ont coupé du monde. Il décide alors de s'immerger dans une vie plus simple et plus concrète et trouve un petit boulot de serveur dans un café sans prétention tenu par un jeune couple hétéro. Mais voilà, il tombe amoureux de son patron...

    Bande-annonce

     


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  • Année de production 2009
    Sortie en salles 6 octobre 2010
    USA, France
    Réalisateur : Gregg Araki
    Comédie, Science-fiction
    86 mn

    Nu masculin au cinéma

    Distribution :

    Haley Bennett (Stella), Thomas Dekker (Smith), James Duval, Andy Fischer-Price (Rex), Brandy Futch, Nicole LaLiberte, Kelly Lynch, Brennan Mejia (Oliver), Carlo Mendez (Milo), Roxane Mesquida (Lorelei), Jason Olive (Hunter), Juno Temple (London), Chris Zylka (Thor)

    Synopsis :

    Smith mène une vie tranquille sur le campus - il traîne avec sa meilleure amie, l’insolente Stella, couche avec la belle London, tout en désirant Thor, son sublime colocataire, un surfeur un peu simplet - jusqu’à une nuit terrifiante où tout va basculer. Sous l’effet de space cookies ingérés à une fête, Smith est persuadé d’avoir assisté à l’horrible meurtre de la Fille Rousse énigmatique qui hante ses rêves. En cherchant la vérité, il s’enfonce dans un mystère de plus en plus profond qui changera non seulement sa vie à jamais, mais aussi le sort de l’humanité...

    Secrets de tournage.

    Retour aux sources

    A la suite d'une remise de prix pour Mysterious Skin, Gregg Araki s'entretient avec celui qui vient de le lui remettre, John Waters, qui l'interroge sur le changement artistique sensible dans ses deux dernières réalisations (avec Smiley Face), où l'auteur se démarque de celles qui l'avait imposé et dont il avait écrit les scénarios (The Doom Generation et Nowhere notamment). Coïncidence amusante, il est alors en pleine écriture de Kaboom, qu'il envisage autant "débridé et fou" que ses premiers, en sachant d'autant plus que, de ce fait, il répond à l'attente de nombreux fans pour qui ces deux films-là restent également les figures de proue du réalisateur.

    Note d'intention

    Conscient des risques que peut comporter l'instauration d'un modèle de réalisation trop répétitif, ou régressif, Araki a une véritable hantise de s'inscrire dans une case définie et ne plus pouvoir en sortir. C'est ainsi qu'il est en recherche constante de nouveauté artistique, moteur premier à sa réalisation, même s'il reconnaît lui-même "ne pas avoir fondamentalement changé depuis ses premiers films". Pour ce film, "le point de départ était empreint d’une sorte de nostalgie. Celle de l’inconscience de la jeunesse et de l’inconnu, de l'incertitude totale."

    Souvenirs de fac

    Même s'il reconnaît ne pas s'en être vraiment rendu compte sur le moment, les années d'étudiant où la vie ressemble à un grand point d'interrogation et où les expériences se multiplient ; restent dans l'esprit du réalisateur comme une période unique. C'est à ce moment que sa sensibilité artistique s'est formé en partie et, dans le cas d'Araki, la référence à Lynch est évidente. "J’avais toujours voulu faire un film énigmatique et mystérieux inspiré par Twin Peaks de David Lynch. J’étais un jeune étudiant quand cette série a secoué la télé américaine et elle m’a réellement bouleversé, influençant non seulement mon travail, mais aussi toute ma vie."

    La cuture mainstream comme anti-modèle

    Parmi ce qui a le plus marqué le réalisateur à la vision de la fameuse série lynchienne, il y a incontestablement un goût partagé pour la culture "post-punk et la musique alternative, quelque chose de très « punk » dans Twin Peaks et dans la remise en cause de l’idéal « mainstream »." C'est le sentiment de liberté artistique qu'il recherche, et que David Lynch avait "théorisé" en exprimant une "oeuvre profondément originale, radicale, elle ne se souciait pas des conventions ni même de la compréhension. Elle avait une pureté audacieuse, intrigante, nouvelle et inspiratrice." En dehors des cadres, "Kaboom veut juste exister et vibrer à son propre rythme", conclut-il.

    Un "père" bienveillant

    Bien qu'il n'ai pas écrit le scénario de ses deux précédents films, au contraire de ses quatres premières réalisations, Gregg Araki revendique clairement être attaché de la même façon à tous ses longs-métrages. Un rapport qu'il entretient d'ailleurs de façon très personnel : "Mes films sont comme mes enfants, et ces deux-là ne sont pas moins les miens que les autres."

    Changement de casting

    L'actrice Rooney Mara, attendue dans les prochains The Social Network de David Fincher et dans la nouvelle adaptation de Millenium, The Girl With The Dragon Tattoo, était initialement prévue au casting avant de devoir annuler pour des raisons de planning.

    Icône d'un genre

    Icône de la trilogie "slasher-métaphysico-apocalyptiquo-lynchienne" qui avait révélé Gregg Araki ( ), James Duval, qui incarnait également le fameux lapin de Donnie Darko, retrouve ici son réalisateur fétiche dans le rôle d'un gourou qui prédit la fin du monde.

    Festivals

    Habitué des sélections aux festivals depuis ses premiers films, Kaboom ne déroge pas à la règle et le réalisateur renoue notamment avec Cannes pour une deuxième participation après Smiley Face, dans la sélection officielle cette fois ; ainsi qu'une participation au festival du film américain de Deauville. Il remporte d'ailleurs à Cannes la première Queer Palm décernée par le festival. (AlloCine)

    Bande-annonce, Extraits

     


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